L’annonce du départ de l’enseigne LEROY MERLIN la semaine dernière faisait suite à celle de la BNP préférant jeter l’éponge et abandonner un quartier en totale perdition depuis maintenant de nombreuses années.

Le vide…et le désespoir

Drogue, violences, pauvreté, migrants… Pas très rock and roll tout ça. Comment a t on pu en arriver à cette situation de non-retour pour les riverains, désemparés, abandonnés ? La municipalité a beau demander à l’Etat « un sursaut de ses services », les premiers responsables sont bien ceux qui sur le terrain n’ont pas su prévoir, anticiper ce qu’il est désormais difficile de contenir aujourd’hui.

C’est bien la politique laxiste de Mme Hidalgo et ses affidés, M. Dagnaud en tête, qui a laissé s’enfoncer la pauvreté au coeur de ces quartiers. Sur fond hypocrite de bien-pensance, la main sur le coeur mais le chéquier prêt à être dégainé pour des associations dont on ne sait pas trop à quoi elles servent si ce n’est à clientéliser, ces élus ont tout simplement pratiqué la politique du pire, celle qui consiste à excuser, à déresponsabiliser pour ensuite mieux s’en laver les mains en invoquant le recours de l’Etat.

Au delà d’un réel problème de la politique urbaine dans ce secteur de la capitale, se pose le problème de l’insécurité grandissante à laquelle doivent faire face les riverains et en l’absence de commerces et donc de vie économique locale se posera (si ce n’est déjà le cas) le problème de la désertification de zones favorables au développement de tout trafic.

Voilà à quoi mène vingt ans de socialisme dans la capitale.

L’heure n’est plus aux regrets mais à l’action avec le CNIP PARIS.

L’équipe CNIP PARIS

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