
1. volonté de la municipalité sortante d’effacer du paysage urbain la mémoire et l’histoire de la France et de valoriser à outrance certaines époques historiques de Paris (ex. : la Commune, la Révolution…)
2. abandon volontaire de remise en état de certains édifices historiques du patrimoine parisien ne correspondant pas aux théories idéologiques de la majorité de gauche
3. lancement de projets fumeux et coûteux rompant la filiation historique et les valeurs de Paris (les places transformées en forêts urbaines anarchiques, jardins devenus espaces de loisirs et d’entraînements de sports entraînant des nuisances…)
4. abandon de restauration des différentes statues multi centenaires et commande de figures contestables ou de moindre importance quand ce ne sont pas des installations monumentales de créateurs étrangers (ex. : le « Cœur de Paris » à Clignancourt)
5. préservation de certains noms de personnages controversés, voire criminels aux stations ou en voiries ainsi que le choix de figures historiques, culturelles, scientifiques ou sociales très orientées lors de la création de nouvelles voies ou de re nomination de places ou voies publiques
6. subventions de plus en plus réparties selon la proximité idéologique de la majorité sortante et politique d’invisibilisation de certaines cérémonies commémoratives ou de Fête nationale
