ROSA PARKS OU LE NARCO TRAFIC A CIEL OUVERT
Le vide...et le désespoir
L’appel au secours de l’édile socialiste le 21 novembre dernier pourrait faire sourire si la situation n’était pas catastrophique au regard du véritable enfer que vivent les habitants de ce quartier.
Oui sourire car ce sont bien les politiques de gauche qui ont amené ce quartier à une débâcle sociale, économique, sociétale dans cet arrondissement au nord de Paris, limitrophe de la Seine St Denis. Les petits commerçants et des artisans abandonnés au profit d’un centre commercial bondé… des bagarres entre toxicos… la saleté…Et un constat sans appel des riverains et des associations de quartier qui regrettent la disparition de tout ce qui contribue à animer la vie sociale : un boulanger, un boucher, un dentiste, une bibliothèque…

Et cerise sur le gâteau, la présence de plus en plus visible et glauque de ces consommateurs de crack encore plus nombreux, encore plus agressifs et dangereux, encore plus dissuasifs… Et depuis une semaine, la BNP et LEROY MERLIN annoncent, lassés, leur départs, faute de rentabilité, faute de clientèle, faute de cette politique délètère.
Oui, c’est bien cette politique de gauche menée depuis trop longtemps qui amène les habitants de Paris à quitter leur quartier, leurs habitudes, leurs amis afin de trouver davantage de tranquillité, de sécurité pour eux et leurs enfants face à ce spectacle désolant de la déchéance humaine.
C’est bien cette politique qui, progressivement, a installé dans nos sociétés, les conditions même d’épanouissement du narcotrafic en « dealant » des accords avec la racaille, en subventionnant des associations pérennisant un système dans lequel la pauvreté reste la pauvreté, en refusant la présence même de la police, seule organisation à même de juguler ces activités illégales et assurant la sécurité de nos concitoyens.
Alors aujourd’hui, les demandes exprimées, implorées par le maire du 19ème arrondissement, en urgence, aux pouvoirs publics pour que cesse cette situation ont franchement de quoi nous faire rager. Surtout quand, à la lecture de ses propos, il ne semble pas prendre ses responsabilités.
Il dénonce avec « gravité et lucidité » ce qu’il qualifie de « consensus inavouable »… « Ce grand marché à ciel ouvert du crack est cantonné là » car « pour la police comme pour les acteurs médico-sociaux, il semble préférable de ‘gérer’ ces scènes identifiées dans une logique du moindre mal que de risquer la dispersion des trafiquants et des toxicomanes ».
En gros, on cantonne et on ne fait rien.
Harceler le trafic de crack, créer une police de proximité (armée ?), déployer une stratégie de santé publique sont les demandes du maire socialiste. Bien mais est ce bien suffisant ?
A quand une politique de sécurité pour nos concitoyens et une paix durable pour nos quartiers ?
Le CNIP PARIS a lancé un ensemble de propositions concrètes dans le cadre de son programme sur la sécurité et la prévention (cliquez ici) dont l’intégration des comités de quartiers dans des réunions mensuelles de bilan et perspectives via un contrat local de sécurité permettra d’associer les habitants à la politique de sécurité des quartiers.
Redéfinir une politique urbaine cohérente, exclure les toxicomanes du quartier et les interner en centre de soins en dehors de la ville, exprimer la plus grande fermeté pénale vis-à-vis des trafiquants… C’est pas mal non plus non ?
Cessons en mars prochain l’idéologie socialiste néfaste pour les parisiens.
L’équipe CNIP PARIS
